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Au gré des fouilles d’urgence du CEA, un mobilier très
riche a été mis au jour, dans l’habitat comme dans les nécropoles. Son
étude en a été confiée à des spécialistes qui avaient entrepris d’examiner
les collections du Musée gréco-romain. Des analyses en laboratoire, des
prospections à la recherche des ateliers de production sur les rives du
lac Mariout ont apporté des informations tout à fait nouvelles.
Le résultat en est soit des chapitres dans des volumes de fouilles (pour
la céramique, les lampes,les terres cuites, les monnaies...), comme celui
qui est paru sur la Nécropolis, soit de véritables corpus: c’est le cas
de la faïence (volume 4 des Etudes Alexandrines) et des objets
métalliques.
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